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22/6/15 Faraj Chemsi
     
           La mafia sociale tremble et va mourir !

Subissez-vous un prélèvement sous la contrainte d’une partie du fruit de votre travail en échange d’une maigre protection, et si vous ne vous exécutez pas après quelques menaces risquez-vous d’être ruinés ?

Si oui, vous êtes certainement sous l’emprise de la mafia sicilienne, ou calabraise, ou de la Camorra, qui collectent le pizzo. Cette retenue d’une partie du fruit du travail, permet à ces mafias de tenir la collectivité sous leur coupe et d’exercer un contrôle sur tout le territoire où elles sont implantées.

Ce pizzo mafieux concerne 80% du commerce et des entreprises siciliennes.

Mais vous, Français, créateurs de richesses, vous avez eu le sentiment d’être aussi concernés à la lecture de la première phrase, et vous venez de comprendre que vous êtes aussi sous l’emprise d’une forme de pizzo à la française que vous avez du mal à définir.

Ce pizzo français est le pizzo social ou le pizzo Sécu.

En 1945 une ordonnance d’origine camorraise, pardon communiste, a mis en place une maigre protection sociale, une mutuelle destinée à fournir aux Français leurs assurances sociales personnelles.

Cette mutuelle, nommée à tort Sécurité sociale, est devenu ce fourre-tout qui a capté, phagocyté progressivement toute l’économie française.

En effet, ce système bâti sur un mensonge a progressivement verrouillé toutes les activités en créant des obligations illégales, en mettant à son service médias, magistrature, syndicats, politiques, tous se tenant aux ordres du système dans une corruption généralisée.

Et c’est ainsi que s’est créée une caste mafieuse, responsable de cette tyrannie de plus d’un demi-siècle qui assassine l’économie française.

Ce système participe ainsi activement à un génocide, à la destruction physique d’une partie de la population active au nom d’un principe : la « solidarité », qui claque au vent comme le fouet du garde-chiourme.

Aujourd’hui, deux Français par jour meurent de ce principe, « se suicident par solidarité », dans le terrible silence complice de la classe politique et médiatique, dans un déni de génocide.

Ce système structurellement tyrannique existe par une organisation implacable et bien huilée composée des « cow-boys » des Urssaf et autres organismes de recouvrement, de tribunaux « juges et parties » (TASS ), et en bout de chaîne d’huissiers tout dévoués au système car l’ayant comme principal client.

Ainsi les caisses de cette organisation gérée par les syndicats fixent arbitrairement la valeur du « pizzo Sécu », les organismes de recouvrement mettent tout en œuvre pour le récupérer en se servant au passage, envoient ceux qui ne peuvent pas ou ne veulent pas « cracher au bassinet » devant des juges aux ordres en échange d’une belle carrière, et ces juges donnent aux huissiers les ordres de mission pour parachever cette gigantesque extorsion de fonds.

C’est ainsi que pour toute activité vous devez verser « le pizzo Sécu » en échange d’une maigre protection sociale, et ceux qui ne s’exécutent pas sont liquidés rapidement et sans ménagement.

Ainsi au racisme, au sexisme, à l’homophobie ou à l’antisémitisme, on peut ajouter en France depuis 1945 « le pizzo social » ou « pizzo Sécu », admirable « machine à extorsion » qui réduit en esclavage par la terreur les 25% de la population française productrice de richesse, au nom d’un énorme mensonge collectiviste dénommé « solidarité ».

Mais voilà que depuis novembre 2012, des Français opprimés par ce système se sont regroupés sous le nom de « Libérés », rejoignant dans la lutte le mouvement fondateur, le MLPS, et ont lancé la charge contre le « pizzo Sécu ».

Nous sommes bien dans le cas d’un droit naturel, le droit de la résistance à l’oppression, tel qu’il figure à l’article II de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 : « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression. »

En refusant de payer le « pizzo Sécu », les Libérés combattent pour toute la population française, à l’exception des mafieux qui la rançonnent. On célèbre les juges anti-mafia de Sicile, on doit célébrer en France les Libérés, sans qui notre pays continuerait de s’enfoncer dans une oppression sans fin, dans la misère, dans le désespoir.

Placardons comme à Palerme des affiches où il est écrit : « Un peuple qui paie le pizzo, est un peuple sans dignité ».

La mafia sociale n’avait à craindre qu’un seul mot : Non. Les Libérés l’ont prononcé. La mafia sociale tremble et va mourir !

Dr Faraj Chemsi


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