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7/9/13 Claude Reichman
    La nouvelle révolution française est en marche !

Personne ne peut aujourd’hui réformer la France sans la bouleverser. C’est l’évidence qui s’impose à une très large majorité de nos compatriotes. Et ceux-ci pensent aussi que ce bouleversement ne peut se faire par la voie politique, car l’alternance des partis au pouvoir ne change jamais rien à la situation.

Chacun attend les évènements qui, à une échéance inévitablement proche en raison de la gravité des problèmes, vont rebattre toutes les cartes et ouvrir la voie au redressement national.

Le mal de notre pays vient du mariage du communisme et de l’étatisme. Le communisme n’a jamais reculé en France depuis la Libération, et si le parti qui porte encore ce nom n’est plus qu’une ombre, c’est parce que sa présence n’est plus utile au règne sans partage de sa doctrine. Quant à l’étatisme napoléonien, il imprègne toujours la haute administration française, qui ne conçoit pas que les citoyens soient libres d’entreprendre sans l’aval et le contrôle de l’Etat.

Cette association maléfique nous présente aujourd’hui un bilan désastreux : la France étouffe sous les prélèvements obligatoires, ses entreprises disparaissent à un rythme sans cesse accéléré et ne peuvent plus produire les ressources qui permettaient au système de se maintenir, ce qui contraint l’Etat à recourir à la dette, dont le gonflement aggrave encore la crise. L’insécurité, fruit de l’appauvrissement du pays et d’une immigration excessive que le pays a été incapable d’assimiler, ne cesse de s’étendre et a échappé au contrôle des autorités.

La situation est donc désespérée dans le système actuel. C’est pourquoi celui-ci va nécessairement être rejeté par les Français. Une première phase – essentielle - de ce rejet s’est ouverte il y a quelques mois avec l’affranchissement de très nombreux citoyens des prélèvements délirants de la Sécurité sociale au moyen de l’adhésion à des assurances privées, comme le prévoient les dispositions européennes intégralement transposées dans le droit français. S’y ajoutent à présent de véritables jacqueries sociales qui voient des Français exaspérés refuser de continuer à payer les charges sociales tout simplement parce qu’ils ne peuvent plus y faire face.

Le pouvoir est ainsi frappé au cœur, car il n’existe que par sa capacité à faire les poches de ceux qui travaillent pour remplir celles des assistés. Ce mouvement est donc la première grande manifestation de refus du communisme et de l’étatisme depuis 1945. De cette date à aujourd’hui, il y a 68 ans : c’est un peu moins que la durée de la vie humaine, et c’est aussi celle qui voit les régimes politiques s’effondrer, l’exemple le plus notoire étant celui du communisme qui, de 1917 à 1989, a duré en Europe 72 ans.

Il faut mettre, en France, de la liberté partout. Non pas en réformant les textes, qui ne sont que le reflet des chiffres, mais en ramenant les dépenses publiques dans un premier temps et d’un coup d’un seul à 800 milliards d’euros au lieu de 1000, ce qui nous donnera un montant de prélèvements obligatoires de 40 % du PIB, c’est-à-dire au niveau des pays qui réussissent le mieux.

J’ai été le premier à poser le problème en ces termes précis et à ce montant. Aujourd’hui, de nombreux journalistes et même des hommes politiques rejoignent mes solutions, signe que les esprits ont fini par évoluer au lieu de ressasser perpétuellement que nous avons un système-que-le-monde-entier-nous-envie. Mais tout ce qu’ils peuvent dire et écrire compte infiniment moins que ce que nous faisons : renforcer ceux qui travaillent en allégeant leurs charges par le recours à la concurrence. C’est cette démarche qui va sauver le pays, en lui redonnant les moyens et le goût d’entreprendre.

Evidemment, les grands médias - hormis quelques exceptions bien venues - s’abstiennent de faire écho à cette action, craignant de déplaire au pouvoir et de créer des difficultés à leurs actionnaires, mais il leur est chaque jour plus difficile d’ignorer le torrent de la révolte qui est en fait une révolution. Si bien qu’ils en viennent maintenant à faire de timides allusions à notre action. Gageons qu’il ne se passera pas beaucoup de temps avant que leurs colonnes et leurs antennes ne débordent des faits et gestes du grand mouvement de libération sociale et fiscale que nous avons initié. Il en va toujours ainsi quand le nombre vient couronner l’initiative des précurseurs.

Claude Reichman
Porte-parole de la Révolution bleue.

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